Le 10 Septembre, mon avant dernier jour à New York, je me fais mon petit programme, aujourd'hui le Queens, par le métro, il y a des Musées a voir, et tout est moins honéreux que dans New York, je traverse donc en métro le Queensborobridge, je prends rarement le métro, il y a trop a voir à pieds, mais je ne veux pas trop me fatiguer, pour le 11 Septembre, ma dernière journée et mon avion qui ne part pas avant 23 heures - je vais faire la Pointe Sud, et ensuite au sommet des World Trade Center, pour filmer le panorama, et avoir l'Empire State Building enfin sur mes photos.
C'est mon arrêt, je descends les marches du Pont, et je découvre toute la misère newyorkaise, sous ce pont une zone de non-droits, qui s'étend jusqu'à Roosvelt Avenue, un endroit à dealers et autres trafiquants, les marchands de sommeil, les taudis, sous le pont je remarque plein de hamacs suspendus, çà mendie à tour de bras, je n'en mêne pas large, je me faufile très vite sans regarder personne, vers Jackson Avenue, beaucoup plus tranquille, j'ai une vue sur la skyline à couper le souffle, c'est terriblement beau, et gigantesque, je filme toute la baie, du Citicorp Center jusqu'aux WTC, et le batiment de l'ONU en plein milieu, de l'autre côté de l'Hudson River, tout est magique, à cause du recul que l'on a sur Manhattan.
C'est un été indien, j'ai eu du soleil pendant tout mon séjour, il fait même très chaud, la chaleur dans le métro, n'est pas supportable.
Je suis en short, et en tennis tous les jours, car il fait chaud dès le matin.
Je regrette que dans la plupart des Musées il est interdit de filmer, mais parfois je triche avec la Loi.
Je suis descendu pour mon séjour au Wolcott Hotel, un hotel pas vraiment sympatique, dans la 33ème st street, mais très central, je suis proche de L'Empire State Building, a deux pas de MACY'S et BLOOMINGDALES, de la GRANDE POSTE - de GRAND CENTRAL , ma chambre est sobre et assez grande, munie de tout le confort, l'Hotel est tenu par des portoricains, le personnel est très poli, très mielleux, trop poli, je préfère l'anonymat.